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Brindas Participation et Progrès
21 novembre 2013

Affaires scolaires

LE CONSTAT

  • Près de 400 élèves en primaire ( 15 classes) et près de 200 en maternelle (7 classes)
  • Un des groupe scolaire les plus gros du département
  • Absence d’école privée sous contrat dans la commune
  • Mise en place en 09/2014 de la réforme des rythmes scolaires

                  o Nécessité de trouver 34 lieux/espaces différents pour travailler en groupe, dans un contexte où les locaux sont saturés

                  o 2 options de calendriers

                               - APC (activités pédagogiques complémentaires, relevant de l’Education Nationale) et TAP (Temps d’Activité Pédagogiques relevant de la commune) après la pose méridienne les lundi et mardi et en fin de journée les jeudi et vendredi

                               - APC et TAP toujours en fin de journée

  • Près de 50 000 par an servis au restaurant scolaire (+5% entre 2011 et 2010)

 

PARMI LES PROPOSITIONS BRINDAS PARTICIPATION & PROGRES FAITES LORS DES PRECEDENTS MANDATS MAIS NON RETENUES PAR LA MAJORITE MUNICIPALE

  • Lancer une étude sérieuse pour décider ou non de la construction d’un second groupe scolaire : estimations de  l’évolution de la population scolaire dans les prochaines années, évaluations du coûts,….

 

PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL

Elles sont en cours de définition. Vous êtes intéressée- par notre démarche. Participez à la prochaine réunion ou bien postez un commentaire.

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20 novembre 2013

Démocratie locale

LE CONSTAT

  • De trop nombreuses décisions sont prises sans la concertation et la réflexion suffisante
  • Les commissions extramunicipales (censées permettre la participation des citoyens non élus) ne fonctionnent généralement pas
  • Le Brindas en Bref est réduit à un calendrier et ne joue pas son rôle d’informations et explications
  • Les sujets importants (PLU, intercommunalité,…) sont peu abordés en Conseil Municipal qui trop souvent est cantonné aux votes des affaires courantes.

PARMI LES PROPOSITIONS BRINDAS PARTICIPATION & PROGRES FAITES LORS DES PRECEDENTS MANDATS MAIS NON RETENUES PAR LA MAJORITE MUNICIPALE

  • Mettre en place un Conseil Municipal d’Enfants, doté de son propre budget. Objectifs : initiation à la citoyenneté et à la responsabilité pour les élèves du primaire
  • Envisager son élargissement à un Conseil Municipal de Jeunes (objectif : collégiens et lycéens)
  • Mettre en place une commission extramunicipale des affaires scolaires

 

PROPOSITIONS DE NOTRE GROUPE DE REFLEXION

Elles sont en cours de définition. Vous êtes intéressé-e par notre démarche. Participez à la prochaine réunion ou bienpostez un commentaire.

 

19 novembre 2013

Lien social et famille

LE CONSTAT

  • 207 Brindasiens demandeurs d’emploi à fin juin 2013.

                o Catégories A/B/C de pôle emploi
                o Une croissance de 40% sur 2009 (139 demandeurs d’emplois)
                o Près d’un foyer sur 10 potentiellement concerné

  • 51 allocataires de la CMU-C  en 2012

                o Pour bénéficier de la CMU-C il faut des revenus annuels inférieurs à 8000€ (12 000€ pour un couple)

  • 38 allocataires du RSA dont 20 pour la RSA socle (ex RMI) en 2012
  • 103 allocataires « pauvres »  ayant un revenu inférieur à 1000 € en 2012

                 o 86 en 2010

  • 20% des Brindasiens ont un revenu fiscal déclaré inférieur à 3400€/mois pour un couple avec deux enfants (10% inférieur à 2600€)
  • Les ménages locataires (20% de la population) ont un revenu annuel inférieur de 45% à celui des propriétaires
  • Sur la CCVL les demandes d’admission en crèche sont satisfaites à 36% en 2012 (58% en 2009) le taux est encore plus faible pour Brindas.

 

PARMI LES PROPOSITIONS BRINDAS PARTICIPATION & PROGRES FAITES LORS DES PRECEDENTS MANDATS MAIS NON RETENUES PAR LA MAJORITE MUNICIPALE

  • Mettre en place la tarification du restaurant scolaire et de la garderie en fonction du quotient familial, afin de plus aider les familles qui en ont le plus besoin (cela existe dans de nombreuses communes, dans les collèges et lycées)
  • Mettre en place par l’intermédiaire du CCAS un ticket loisir associatif, accordé sur conditions de ressources, afin de faciliter l’adhésion des Brindasiens aux associations culturelles et sportives (public visé : les jeunes et les personnes âgées)
  • Instaurer dans les commandes publiques (par ex : travaux de voirie, entretien, achats de fournitures,…. ) une clause d’insertion sociale afin de favoriser le choix d’entreprises faisant appel à des salariés en insertion
  • Créer des jardins familiaux (par ex gérés par une association) et inciter aux jardins partagés (par ex : mise à disposition par un particulier à un tiers d’un bout de terrain en contrepartie du partage de la récolte)
  • En cas de hausse des impôts, privilégier la hausse de la taxe foncière plutôt que celle de la taxe d’habitation. C’est sans effet pour 80% des Brindasiens qui sont à la fois propriétaire et occupant de leur logement. Par contre cela permet de limiter la hausse pour les Brindasiens locataires (ceux ayant des revenus plus faibles) et majore l’impact pour les Brindasiens qui louent un appartement qu’ils n’occupent pas.
  • Développer la construction de logements sociaux (à 80% habités par des Brindasiens ou des parents de Brindasiens :  jeunes décohabitant du domicile familial, personnes âgées quittant leur maison, rapprochement familial,…)
  • Créer des espaces de rencontre  dans la commune (mini parc,…)
  • Travailler avec la CCVL pour mettre en place des structures d’accueils de jeunes enfants (micro-crèches, extension de la crèche actuelle,…)
  • Faire effectivement fonctionner la commission accessibilité pour repérer et résorber les difficultés d'accès liées aux différents handicaps

 

PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL

Elles sont en cours de définition. Vous êtes intéressée- par notre démarche. Participez à la prochaine réunion ou bien postez un commentaire.

 

 

18 novembre 2013

Développement durable et environnement

LE CONSTAT

  • Des enjeux insuffisamment pris en compte par la commune

 

PARMI LES PROPOSITIONS BRINDAS PARTICIPATION & PROGRES FAITES LORS DES PRECEDENTS MANDATS MAIS NON RETENUES PAR LA MAJORITE MUNICIPALE

  • Etudier (lors de la création de la médiathèque)  l’opportunité de créer une chaufferie bois (comme cela existe à Vaugneray, Yzeron,…) qui aurait pu alimenter les bâtiments publics du centre bourg (médiathèque, mairie, écoles, carré d’ass,…)
  • Développer le covoiturage en partenariat avec le Conseil Général
  • Instaurer dans les commandes publiques (par ex : travaux de voirie, entretien, achats de fournitures,…. ) une clause environnementale afin de favoriser le choix d’entreprises se préoccupant du développement durable (utilisation de matériaux recyclés, circuits courts,…)
  • Négocier avec les opérateurs téléphoniques les conditions de leurs implantations sur le territoire de la commune
  • Traiter (avec la CCVL dont c’est la compétence) les points noirs en matière de ramassage des ordures ménagères.
  • Créer (avec le Sytral) un parc relais suffisamment dimensionné aux besoins futurs
  • Créer des jardins familiaux (par ex gérés par une association) et inciter aux jardins partagés (par ex : mise à disposition par un particulier à un tiers d’un bout de terrain en contrepartie du partage de la récolte

 

PROPOSITIONS DE NOTRE GROUPE DE REFLEXION

Elles sont en cours de définition. Vous êtes intéressée- par notre démarche. Participez à la prochaine réunion ou bien postez un commentaire.

 

 

16 novembre 2013

CONTRIBUTION DE L’ASSOCIATION « BRINDAS PARTICIPATION ET PROGRES » A L’ENQUETE PUBLIQUE SUR LA REVISION DU PLU DE BRINDAS

Notre association a longuement travaillé sur le projet de révision du PLU tel qu’il est soumis à l’enquête publique suite à la délibération du conseil municipal. Nos remarques et objections sont les suivantes.

 

1- Rythme de croissance du parc de logement et zones à urbaniser

La principale remarque concerne la contradiction majeure dans laquelle se trouve enfermé le projet de PLU révisé par les différents documents prescriptifs de cadrage en matière d’évolution du parc de logements en général et de logements sociaux en particulier :

-          Le SCOT prévoit pour la commune de Brindas d’ici 2024 (prolongement par la CCVL des tendances prévues par le SCOT à l’horizon 2020) un plafond de construction de 427 logements pour respecter le rythme de croissance démographique souhaité, compte tenu de ce qui a déjà été construit depuis 2006, date d’entrée en vigueur du SCOT.

-          Au même horizon 2024, le respect de l’obligation de la loi SRU, à laquelle notre commune est soumise, d’un quota de 25 % de logement sociaux par rapport à l’effectif de logement total obligerait à la construction de

668- 103 logements sociaux existants =545 logements sociaux nouveaux.

On peut donc déjà  observer, que même en l’absence de toute construction nouvelle de logements non conventionnés d’ici 2024, le respect de l’obligation fixée par la loi SRU est inatteignable.

La première conclusion à tirer de cette constatation,  compte tenu de la hiérarchie des sources de droit (une prescription de rang inférieur ne peut contrevenir à une source de rang supérieur) est que le SCOT doit faire absolument l’objet d’une révision. Au regard ne serait-ce que de la loi SRU, ces prescriptions de modération de la croissance démographique sont totalement irréalistes. Il prévoit seulement une augmentation de 10 % de la population entre 2006 et 2020.

On peut faire l’hypothèse d’une révision du SCOT allant vers l’acceptation d’un taux de croissance démographique, et donc du parc de logement à construire, supérieur à l’actuel. Mais même en se plaçant dans cette  hypothèse, les autorisations  de constructions de logement non conventionnées résultant du zonage proposé dans le projet de PLU soumis à l’enquête public, nous paraissent en contradiction avec le volume de logements sociaux à construire pour respecter la loi SRU .  Ce zonage nourrit une course à l’échalote entre la croissance du parc de logements privés et celui de logements sociaux.

Pour rompre ce cercle vicieux, nous proposons de modifier dans le PLU les trois variables suivantes :

-          Dans les zones Ua et Ub, abaisser le seuil de déclanchement de l’obligation de prévoir la construction d’une certaine proportion de logements conventionnés : nous proposons d’abaisser ce seuil de 400 à 200 m2.

-          Toujours dans les zones Ua et Ub : passer le quota de logement sociaux de 45 % à 50 %. Les choses seront claires : en collectif, un logement sur deux doit être du logement social. L’aspect psychologique est important pour faire bouger les comportements.

-          Surtout diminuer fortement l’emprise des zones Uc et Ud au profit soit d’une extension de la zone Ub, soit de la constitution d’une zone intermédiaire comportant les mêmes obligations de construction de logement social que la zone Ub, mais avec des  hauteurs et des densités intermédiaires, soit en CES, soit en COS largement renforcé par rapport à celui de l’actuel zone Uc. A notre sens il serait opportun que ces deux inflexions soient combinées.

On constate en effet que la zone Uc dite pavillonnaire commence dans certains endroits extrêmement près du centre village (quelques centaines de mètres au plus), ce qui nous paraît contraire à la volonté de densification du centre bourg et de développement du logement social.

Dans cette perspective nous voudrions insister sur le fait que logement conventionné ne veut pas forcément dire collectif ou immeubles ; de l’individuel groupé, type maisons de village accolées ou cottages à l’anglaise, peuvent constituer une transition harmonieuse entre collectif et pavillonnaire, voir une substitution esthétique, au collectif classique.

La rupture actuelle entre prescriptions des zones Ub et Uc va provoquer une juxtaposition urbanistique par trop violente, tant architecturalement que sociologiquement. Les classes moyennes doivent pouvoir trouver leur place à Brindas, ce que l’évolution du prix du foncier ne leur permet pas en zone dite pavillonnaire Uc avec un COS de 0,2, alors qu’elles n’ont pas accès au logement conventionné.

L’exemple de ce qui a été fait à ce sujet sur l’ancien terrain de basket, s’il n’est pas à nos yeux une réussite architecturale, ne constitue pas une raison suffisante pour y renoncer. Une zone spécifique dont les caractéristiques répondraient à cet objectif serait la bienvenue. Elle serait, beaucoup plus que le collectif classique, dans la tradition culturelle du bâti et de la sociologie de nos villages.

Si, au regard de l’expérience passée, certains peuvent rester sceptiques sur la capacité de telles mesures à inciter l’initiative privée à s’orienter vers l’investissement dans le locatif social, elles comporteraient pour le moins l’avantage de freiner le développement de la construction privée non sociale, abaissant d’autant la contrainte de construction sociale…et allant dans le sens de la modération souhaitée de la croissance démographique ! Nous pensons qu’il faudrait pourtant encourager cet investissement privé social par une politique d’accompagnement, comme le conventionnement avec des bailleurs sociaux appuyant et facilitant les initiatives privées.

 

2-Parc relais

Celui qui est prévu au rond-point de la salle des fêtes  nous paraît totalement insuffisant au regard  des besoins futurs. La solution qui constituerait à faire plusieurs niveaux, dons certains en sous-sol, ne nous paraît pas optimum en terme de rapport qualité/prix. Ce n’est pas quand tout le foncier sera consommé qu’il faudra y songer. Le terrain qui avait été envisagé au rond point de la montée de l’ancienne gare nous paraît avoir une taille beaucoup plus adéquate.

 

3-Voiries

Nous sommes très inquiets du fait que le PLU n’anticipe quasiment pas sur le plan de la voirie l’augmentation de la population du centre bourg et de ses alentours, notamment autour de la ZAC des Verchères. Ce manque d’anticipation se paierait à la fois sur le plan des risques d’accidents, sur le plan financier quand il faudra y remédier et sur le plan des tensions sociales qui ne manqueront pas de se faire jour à ce propos : ancien habitants contre nouveaux, habitants de logements conventionnés contre ceux de logements privés…nous n’avons pas besoin de cela !

 

4-Pistes cyclables et piétonnes

Celles prévues nous paraissent très insuffisantes. Il nous paraît notamment indispensable de prévoir une liaison piétonne avec Craponne, véritable centre d’attraction tant scolaire que commercial de Brindas. La route actuelle, de par sa configuration et son trafic intense n’est  pas adaptée.

La réhabilitation à cet effet du viaduc de la Pillardière constituerait sur le plan pratique, symbolique et touristique un excellent projet, qui pourrait, pourquoi pas, constituer l’amorce d’un projet plus vaste et plus ambitieux de parcours cycliste en pied-mont.

 

5-Jardins partagés

L’évolution de la commune vers une augmentation de la part de logement collectif ou de petit individuel nécessite, si on veut lui garder sont caractère rurbain, y compris dans la tête de ses nouveaux habitants, de leur donner les moyens de profiter de la campagne, et pas seulement en allant se promener le dimanche dans les bois environnants.

Le développement de jardins dits partagés ou familiaux nous paraît un excellent moyen d’y concourir, en plus des dimensions économique et éducative qu’il comporte.

Leur non prévision dans le zonage comme le passage en PENAP de la zone agricole nous fait nous interroger sur la faisabilité ultérieure d’un tel projet. Nous suggérons de l’inscrire dans le zonage, pourquoi pas non loin du collège en zone agricole ce qui accentuerait son caractère éducatif grâce à la proximité des établissements scolaires et des zones de collectif denses du centre village.

 

                                                                                  Michel WEILL, Président de BPP

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6 novembre 2013

50 brindasiens débattent de l'avenir de la commune

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Forte participation au débat organisé par BPP durant les vacances de la Toussaint.

Dans un premier temps, Pierre Ménard, maire de Chaponost a exposé comment sa nouvelle équipe municipale a réussi à faire évoluer la commune en définissant trois priorités : l’écologie, la citoyenneté et la solidarité.
Plusieurs exemples ont été donnés : tarification de la restauration scolaire en fonction du quotient familial, politique d’économies d’énergie, réunions de quartiers, développement des logements sociaux, arrêt du désherbage chimique, mise en place d’un agenda 21,… autant d’exemples qui soulignent les insuffisances de la politique de la majorité municipale de Brindas. Avec lucidité, il a également évoqué les difficultés rencontrées pour faire changer les habitudes, pour arbitrer entre intérêts particuliers et collectifs.

 

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 En seconde partie de soirée, les 5 élus Brindas Participation et Progrès Ensemble à Gauche, ont présenté leur bilan de mandat. Ils ont relevé les propositions retenues, mais aussi celles écartées par la majorité municipale. Plus de précisions dans le diaporama diffusé ce soir là et visible ici

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Cette première étape dans l’élaboration d’un programme partagé, va se poursuivre le mardi 19 novembre à 20 H petite salle des fêtes par la réunion de 6 groupes de travail (démocratie communale, lien social et famille, urbanisme, affaires scolaires, environnement, gouvernance territoriale).
Pour conclure la soirée, une mise en commun des réflexions permettra la synthèse.

Vous êtes intéressés par les valeurs et la démarche de notre association, venez apporter votre contribution mardi 19.

25 mars 2013

Mme le Maire a renouvelé le bail de l'antenne relais SFR sans concertation et sans discussion

Nous avons appris, à la fin du conseil municipal du 11 mars dernier, que Mme le Maire avait renouvelé le bail qui liait la commune à SFR pour l'antenne relais située sur un terrain communal face au terrain d’accueil des gens du voyage. Cette décision, prise, comme de plus en plus souvent, sans aucune concertation, prive la municipalité d’un moyen majeur de négociation avec SFR. En effet, les communes qui souhaitent encadrer les antennes des opérateurs utilisent les renouvellements de baux pour «imposer» aux opérateurs téléphoniques la négociation de chartes qui encadrent les implantations actuelles et futures. Cette décision unilatérale et prise dans le secret s’assied sur la mobilisation des citoyens, à travers, notamment, les actions du collectif Brindas Stop Antennes (dont les élus BPP ensemble à gauche se sont fait le « relais » à plusieurs reprises au conseil municipal).  Inconséquence, mépris des mobilisations de nos concitoyens, déni des risques liés aux ondes électromagnétiques … peu importe, à Brindas, la majorité municipale n’a rien fait, se privant ainsi d’une opportunité de discussion avec les opérateurs téléphoniques. Pourtant il était possible de faire différemment !

23 mars 2013

Plaquette "bilan de mandat" de la majorité municipale: les élus de BPP s'adressent au préfet

Lors du conseil municipal du 11 février 2013, les élus BPP n'ont pas manqué de faire part de leur surprise quant à la publication, par les services de la mairie, d'une plaquette intitulée bilan de mandat « Bien Vivre Ensemble à Brindas » et insérée dans le Brindas Images de janvier. Face à l'absence de réponse de Mme le Maire, ils ont tenu a interroger le prefet sur la légalité de ce qui ressemble beaucoup à une publication partisane et pour laquelle les élus de l'opposition n'ont pas été consultés :

" Monsieur le Préfet,

                        Je sollicite l’avis de vos services sur la légalité de la pratique suivante : en janvier 2013, une plaquette intitulée bilan de mandat « Bien Vivre Ensemble à Brindas » a été distribuée par les services communaux, insérée dans la publication semestrielle Brindas Images (cf annexe 1)

Ce bilan de mandat a été rédigé par Mme le Maire, sans consultation de la commission communale communication (comme en atteste le procès-verbal du conseil municipal du 11/02/2013 page 12 (cf annexe 2) et sans que les élus d’opposition aient été sollicités, comme le prévoient :

  • l’article 28-1 du règlement intérieur pour toutes les autres publications communales (cf annexe 3)
  • l’article L2121 .27.1 du Code Général des Collectivités Territoriales « dans les communes de 3500 habitants et plus, lorsque la commune diffuse sous quelque forme que ce soit, un bulletin d’information générale sur les réalisations et la gestion du conseil municipal, un espace est réservé à l’expression des conseillers municipaux n’appartenant pas à la majorité municipale

En outre, ce bilan de mandat utilise à quatre reprises (pages 1, 2, 12, 18) l’intitulé « Bien Vivre Ensemble à Brindas » qui est celui de la liste de Mme le Maire lors des élections de 2008 (cf annexe 4). Il entretient ainsi la confusion entre une publication communale et une publication partisane. Pourtant, Mme le Maire a précisé, lors du conseil municipal du 11/02/2013, que le coût de cette publication (4500 €) était pris en charge par le budget de la commune (cf annexe 2).

Je m’interroge d’une part sur le respect de l’article L2121.27.1 et d’autre part sur le bien-fondé de faire prendre en charge le coût de cette publication et de sa distribution par le budget communal.

Je souhaite recueillir votre avis sur ces points.

Dans l’attente, recevez Monsieur le Préfet, l’expression de mes sentiments respectueux.

Patrice Cornut, tête de liste « Brindas Participation et Progrès Ensemble à Gauche » "

21 novembre 2012

Réunion publique sur les transports à Brindas : deux ans de perdus !

La réunion publique du 15 nov 2012 sur les transports dans notre commune s'est tenue en présence de Bernard Rivalta, président du Sytral.
A partir du 2 janvier 2013, deux nouvelles lignes TCL desserviront Brindas, la 10 et la 11 (en plus de la 73 qui demeure). N'hésitez pas à vous reporter au site du Sytral pour plus de précisions. 

PB152553-RL2


PB152561-RL2Evidemment, tout le monde se félicite, et nous les premiers, de voir enfin les transports en commun se développer sur la commune. Nous avons toutefois tenu à rappeler ceci à Mme Christiane Agarrat:
"Ce projet était initialement porté par la CCVL.  Mais votre majorité municipale a fait le choix, en 2008, de porter à la présidence de cette dernière, Daniel Malosse, qui était pourtant un opposant de longue date à ce projet. Du coup, fort de sa présidence de la CCVL, il a fait preuve d’une inertie tout à fait remarquable ... Tant et si bien que, malgré l’adhésion de la CCVL au Sytral, pourtant votée à une très large majorité en 2009, cette décision ne s’est jamais concrétisée.
Face au blocage du président de la CCVL que vous avez élu, il a donc été nécessaire qu’en 2012, Brindas contourne la CCVL et adhère directement au Sytral. Toutefois cette seconde voie a eu plusieurs conséquences :

  • Tout d’abord deux ans de perdus ! Puisque que le Sytral avait fait une proposition en 2010 (similaire à l’actuelle) pour un démarrage progressif des lignes dès janvier 2011….
  • Enfin, le coût de financement de ces lignes, qui devait être initialement à la charge de la CCVL et qui avait été intégré dans son plan de mandat pour l’ensemble des résidents de la CCVL, sera finalement à la charge de notre commune, soit un impact de plus de  110 000 €/an sur notre budget, qui aurait pu être pris en charge par la CCVL.

Donc, oui, nous nous félicitons du développement des transports en commun à Brindas, qui vont enfin permettre à nos concitoyens d’avoir une alternative économique et pratique à la voiture. Mais force est de constater que ce projet se concrétise aujourd’hui pour les Brindasiens dans des conditions beaucoup plus défavorables qu’elles n’auraient pu l’être si vous aviez fait un autre choix en 2008."

1 avril 2012

Le pédibus à Brindas…

Le 17 mars à eu lieu une réunion, en mairie, pour continuer à développer le Pédibus à Brindas.

L’ensemble des parents d’élèves des écoles maternelles et primaires ont été invités à rencontrer des représentants des pédibus de communes voisines : Messimy , Saint Martin en haut et Rontalon.

Sur Brindas, actuellement, une seule ligne de pédibus fonctionne quotidiennement. Elle permet aux enfants sur la ligne dite du Morillon de se rendre à l’école tous les matins à pied, dans la bonne humeur et la convivialité.

Ce temps d’échange du 17 mars a permis de réfléchir à des solutions pour inciter de nouvelles familles à choisir ce type de déplacement pour se rendre à l’école. Il a été rappelé que c’est aux parents d’organiser de nouvelles lignes de pédibus. Cette organisation se fait notamment  avec le soutien de la municipalité.

Bientôt, des panneaux seront installés à Brindas afin de signaler le passage du pédibus et donc d’enfants à pied.

Le pédibus, c’est une solution aux problèmes de stationnement que nous rencontrons dans le centre du village. C’est aussi une démarche écologique et créatrice de lien social.

9 janvier 2012

Le crédit social

Une initiative interessante du CCAS deSaint Genis les Ollières, relatée dans le progrès du 4/01

2012-01-03 progrès CCAS

20 novembre 2011

Non au racisme

Les élus BPP condamnent l'effraction, les dégradations et les inscriptions à caractère raciste subie par la mairie de Thurins la semine passée et assurent les élus et la population thurinoise de leur soutien.

Après les tags sur la MJC de Vaugneray en décembre 2010, les autocollants d'extrème-droite retrouvés un peu partout au printemps 2011, sans parler des graphitis que l'on peu voire trop régulièrement sur certains murs brindasiens, ce nouvel acte montre que l'éducation à la tolèrance et au respect et la vigilance contre l'extrème-droite et le racisme restent plus que jamais nécessaire.

 Le Progrès du 18/11/20112011-11-18 progrès effraction mairie thurins

3 août 2011

Brindas une commune globalement riche mais….

 

Les dernières statistiques de l’Insee précisent qu’en 2008 (derniers chiffres disponibles) 50% des ménages brindasiens avaient des revenus fiscaux inférieurs à 42 500€ par an (revenu médian). Toutefois cette médiane cache d’importantes disparités. En effet, comme le met en évidence notre graphique, les ménages locataires de leur logement ont un revenu pratiquement deux fois moindre que ceux qui sont propriétaires.

revenu fiscal médian

Ainsi la moitié des 379 ménages locataires d’un logement (non social) a un revenu fiscal annuel inférieur à de 26 800€. Le graphique met en évidence que l’écart de revenu est important entre le ménage propriétaire de son logement et celui qui est locataire (que ce dernier soit en HLM ou dans secteur privé). Les locataires représentent 25% des ménages de notre commune.

Ces statistiques confortent la position des élus Brindas Participation et Progrès Ensemble à Gauche, qui demandent depuis plusieurs années une évolution plus modérée de la taxe d’habitation (payée par l’occupant) que de la taxe foncière (payée par le propriétaire). En effet, une progression plus faible (ou nulle) de la taxe d’habitation compensée par une progression de la taxe foncière permettrait de :

  • ne rien changer pour la plupart des brindasiens (qui sont simultanément propriétaire et occupant de leur logement)
  • ne pas peser pas sur les budgets des locataires qui ont des revenus plus modestes (cf graphique)
  • de peser plus sur les propriétaires non occupant de logements et qui les louent à des tiers,  bénéficiant à ce titre des revenus de location.
  • de maintenir les recettes fiscales de la commune, ces deux taxes rapportant le même produit pour le budget de la commune

Cette proposition pourtant particulièrement adaptée à la situation de notre commune, est malheureusement systématiquement ignorée par la majorité municipale, manifestement peu  préoccupée d’une meilleure justice sociale et fiscale.

7 juillet 2011

à vos calculatrices ou antalgiques

Impossible pour un délégué au SIAHVY (SIA de la Haute Vallée de l'Yzeron) de comprendre et de comparer le mécanisme de l'augmentation des tarifs. La lyonnaise des eaux doit avoir de nombreux polytechniciens à son service !!

remunération Syavy

20 juin 2011

Notre contribution à l'enquête publique sur le projet LEOL

 

Le bureau de l’association Brindas  Participation et Progrès approuve totalement le projet LEOL qui constitue  pour elle la première étape indispensable d’un projet de long terme de développement des transports en commun pour un bassin de vie qui se densifie et continuera à s’urbaniser.

L’aménagement du tronçon soumis à l’enquête publique en constitue un maillon sans lequel l’ensemble du projet perd son sens.

Nos remarques sont les suivantes :

1- Si les parcours projetés ne sont pas en site propre majoritairement comme le font remarquer les détracteurs du projet :

-    Le tronçon soumis à enquête n’est pas le seul, puisque du chemin de la poterie au rond-point d’Alaï, il existe déjà une voie en site propre empruntée par l’ensemble des lignes de bus

-   Les autres voiries empruntées par LEOL, sans être en site propre, constituent un parcours beaucoup moins encombré que le parcours actuel, dont il faudrait d’ailleurs  voir si dans l’avenir certains d’entre eux ne pourraient pas  comporter des voies en site propre.

-   Son absence provoquerait un goulot d’étranglement qui ôterait toute logique au projet et obérerait l’avenir.

2- En terme d’équité, il apparaitrait particulièrement injuste aux brindasiens que certains habitants de Francheville, profitant déjà des aménagements du parcours  effectués en aval, s’opposent à ce que la très grande majorité des habitants en amont ne puisse pas elle aussi voir ses conditions de circulation s’améliorer.

3- Des études approfondies ont montrées que toutes les alternatives soit n’étaient pas faisables, soit à des couts prohibitifs. L’argument de non conformité au SCOTT ne tient pas : la réduction de la circulation automobile sur la RD 489 qui n’est qu’à 2 voies est tout simplement matériellement impossible…sauf à la supprimer!

4- L’éloignement des centres d’habitation et d’activité est extrêmement faible, de l’ordre de 100 à 150 m par rapport à l’axe de la RD 489. Il n’est bien sûr aucunement gênant pour une ligne à vocation express, tout au contraire. Ce faible éloignement amène d’ailleurs à s’interroger sur l’opportunité d’emprunter cette voie en site propre pour l’ensemble de la circulation des transports en commun. Pour tout ceux qui habitent au sud de la RD 489 il n’y aurait aucun supplément de marche à pied, valeur écologique et sanitaire essentielle. L’existence du site propre devra sans doute amener à cette conclusion.

5-En matière de gain de temps, ceux qui prennent les bus aux heures de pointes savent bien que les temps de parcours théoriques des TCL ne correspondent pas à la réalité d’aujourd’hui. Les gains de temps réels seront selon nous bien supérieurs à ceux qu’on peut calculer sur les horaires théoriques. De plus en la matière il est aussi important de tenir compte des écarts-types que de la moyenne ; or les écarts-types sont incommensurablement plus importants aux heures de pointes que dans le reste de la journée ; c’est cela qui importe à  la population qui prend les bus aux heures de pointe, qu’elle soit scolaire, étudiante ou travailleuse : elle est soumise à des impératifs horaires que ne connaissent pas du tout au même point la population qui les fréquente le reste de la journée. Le problème est tout autant la ponctualité, la régularité que le gain de temps. C’est ce qu’apportera le site propre dans la portion la plus encombrée du parcours. On connaît le stress qui résulte de retards répétés au travail ou au lycée. Prendre le bus de plus en plus tôt, quand il y en a, a aussi ses limites. On nous excusera, mais la santé des hommes et des femmes nous paraît plus importante que les grenouilles !

6- La notion d’injustice pour  « la majorité » (à vérifier) qui resterait sur la RD 489 ne saute pas aux yeux : les défavorisés sont ceux qui viennent de plus loin et qui voyagent aux heures de pointe ; ceux-ci verraient leurs conditions de transport largement améliorées, alors que ceux-là ne les verrait pas dégrader. Où est l’injustice ? Le report de l’ensemble du trafic de bus sur la voie nouvelle, supprimerait d’ailleurs définitivement cette supposée injustice.

7- La réalisation de parkings relais de capacité suffisante, judicieusement placés le long du parcours pour drainer une zone la plus large possible, constitue un complément indispensable pour augmenter l’efficience de l’investissement.

En conclusion la réalisation pour l’instant partiellement en site propre de LEOL nous paraît un  vrai choix d’aménagement du territoire, celui qui voit l’avenir à long terme. Beaucoup ricanaient à Lyon au début des années 70 sur l’Ile d’Abeau, la plaine de l’Ain ou Satolas. Qu’en dit-on aujourd’hui ? Saint-Exupéry est la seule plateforme aéroportuaire française dont les réserves foncières rendent crédible la non construction d’une troisième plateforme aéroportuaire en  région parisienne à 80 kms de Paris ! C’est cela l’économie de ressources et l’harmonie du territoire, donc l’écologie : penser à 50 ans.

 A notre modeste échelle, c’est le courage que nous vous souhaitons,  mesdames et messieurs les aménageurs !

   Michel WEILL, Président de Brindas, Participation et Progrès

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19 juin 2011

Respect de la laïcité

Comme nous l'avons évoqué dans la newsletter de mai, les élus BPP ont écrit au préfet pour protester contre les atteintes délibérées portées à la laïcité par Mme le Maire qui incus une messe dans une cérémonie officielle de la république. Voici le texte de la lettre adressée au Préfet le 3 mai dernier. Nous n'avons pas eu de réponse à ce jour.

courrier préfet

 

Monsieur le Préfet,

En notre qualité de conseillers municipaux attachés aux principes de laïcité, nous portons à votre connaissance le texte de l’invitation de Madame le Maire de Brindas à la commémoration du 08 mai 1945, sur lequel nous sollicitons votre intervention en tant que représentant de l’Etat.

Par lettre ci jointe du 28 avril 2011, Mme le Maire de Brindas invite les membres du conseil municipal et les présidents d’associations dans les termes suivants : « Commémoration de la Victoire de 1945 qui se tiendra le dimanche 8 mai 2011. Celle-ci débutera par la Messe pour la Paix qui sera célébrée à 9h à l’église St Blaise à Brindas. Elle se poursuivra à Brindas, par un rassemblement place de Verdun, à 11h15 »

Ainsi libellée, l’invitation à  la cérémonie de la République inclus un office religieux. Cette formulation est contraire à la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l’Etat qui stipule notamment dans son article 2 que « La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. ».

Déjà en 2009 puis en 2010, Mme le Maire de Brindas avait adopté cette même formulation. Nos interventions lors des conseils municipaux afin de lui rappeler ses obligations en matière de respect de la laïcité sont restées sans effet  (Cf. pages 5 et 6 du procès-verbal du Conseil Municipal du 10/05/2010).

C’est pourquoi, face à cette position réitérée d’intégrer un office religieux dans le cadre du déroulement d’une cérémonie officielle de la République, nous sollicitons votre intervention afin de faire respecter les principes fondamentaux de l’Etat républicain et notamment la loi de 1905.

Nous espérons que notre requête retiendra votre attention et attendons votre réponse.

Veuillez agréer, Monsieur le Préfet, nos  salutations respectueuses.

 

Patrice Cornut, Francine Poinseaux, Rémy Ménétrier, Nicole Robert et Noël Buénerd

 

 

19 avril 2011

Enfin ça bouge au centre communal d’action sociale !

42_24811634En s’abstenant au conseil municipal sur le vote du budget suite à la décision de diminuer la subvention au CCAS, BBP souhaitait dénoncer l’immobilisme de cette instance qui a pour vocation outre l’aide sociale légale (études pour avis dossiers de demandes d’aide sociale aux frais de placement en maison de retraite ou pour des personnes porteuses de handicap) et l’aide extra légale, l’action générale de prévention et de développement  social dans la commune. Trois sources de financements : les produits des concessions du cimetière, ceux des prestations repas et enfin des dons, legs et subventions

Composé de membres élus du conseil municipal et de représentants désignés par des associations représentatives, il est présidé par Mme le MAIRE. Pour le moment cette instance est surtout occupée par le portage des repas des personnes âgées à domicile et les colis de Noël. Des demandes d’aides financières ponctuelles sont étudiées (factures d’énergie, demi tarif pour l’étude ou le restaurant scolaire …) en complément d’aides d’autres dispositifs de droit commun ainsi que l’aide alimentaire d’urgence : soit sous forme de bons alimentaires, soit d’une contribution à la banque alimentaire de Francheville pour des familles démunies. Actuellement l’action sociale sur Brindas est donc réduite à sa définition la plus sommaire.

BPP a l’ambition de vouloir insuffler une politique sociale plus dynamique et ambitieuse sur la commune : il y a bien sûr le vieillissement de la population auquel les politiques nationales et départementales ne peuvent apporter de réponses complètes et de proximité ; il y a le chômage qui augmente la précarité de certaines familles. Même si notre Maire persiste à nous répéter que le niveau de ressources des Brindasiens est élevé comparativement à la moyenne nationale, il doit être encore plus difficile pour les familles concernées de vivre le dénuement.

En premier lieu, nécessité de faire un diagnostic des besoins :

Nous avons donc proposé de faire un diagnostic des besoins des habitants de la commune afin de diriger nos actions plus efficacement. Lors du dernier CA du CCAS nous avons donc voté une adhésion à l’UNCASS, Union nationale des CCAS qui propose des outils d’évaluation et de formation dans leur domaine.

Certains des membres du CCAS ont rendu visite à nos voisins (Grézieu, Vaugneray, et Chaponost) pour connaitre leur fonctionnement : difficile de comparer les budgets, les actions et les fonctionnements car leurs missions sont différentes pour certains comme la gestion de logement sociaux. Mais nous pouvons à mon avis garder des idées comme par exemple l’aide aux activités sur Vaugneray, la rencontre régulière avec les acteurs sociaux de la commune, le conseil des anciens sur Chaponost….

42_23706260Accueil et communication : une priorité

Face au constat du faible taux de demande, BBP a insisté sur la nécessité de communiquer sur les actions du CCAS et de préserver la confidentialité de l’accueil pour que celles-ci ne soient pas des freins aux demandes. Actuellement un agent municipal à mi temps est chargé du suivi administratif des décisions ; mais l’accueil est assuré par l’ensemble : il est important que les personnes sachent quand et pour quelles aides elles peuvent faire appel en mairie ; qu’elles soient informées que leur demande sera accueillie en toute discrétion physique et professionnelle (j’ai pu demander et obtenir, en début de mandat, l’anonymat des dossiers lors du passage en commission pour décision). 

Lors de cette commission, en tant que représentante BBP, je suis très attentive à une étude objective des difficultés ; il est souvent nécessaire d’intervenir pour que l’accompagnement social de difficultés financières ne soit pas vécu comme de l’assistanat : nous ne sommes plus dans les trente glorieuses : le chômage, le coût de l’énergie et des fluides ne sont plus de la responsabilité individuelle des demandeurs !

Enfin nous avons proposé des axes de réflexion pour cibler la mise en place d’actions spécifiques à Brindas, en complément de l’action de la CCVL et des services existants :

 

4 AXES DE REFLEXION POUR CIBLER DES BESOINS :42_23894146

Soutien à la parentalité : barème de participation aux frais de garderie périscolaire et de restauration scolaire, aux frais d’inscription à des activités culturelles ou sportives…

Aide à l’autonomie des jeunes : participation à l’achat d’abonnement TCL ; de mobylette ; microcrédit….

Lutte contre l’isolement : complément d’aide aux frais de STRADA pour les personnes âgée ; mise en place d’une centralisation de propositions de covoiturage ; ateliers lecture à domicile ; repérage et contact avec les personnes isolées et vulnérables en dehors des périodes d’alertes ; l’aide à l’adaptation d’un logement….

Actions intergénérationnelles : opérations « coup de mains » (aide pour fixer un tableau ; monter un meuble ; garde d’enfants occasionnelle par exemple en cas de reprise de travail rapide…)

Mais aussi des actions dans le domaine de la santé, de prévention de l’endettement peuvent aussi se réfléchir si besoin


Francine_PoinseauxToutes ces actions ont besoin d’être sous tendues par une volonté de la municipalité de s’investir et d’investir dans le développement social de la commune notamment en s’engageant financièrement. Ce qui n’est pas le cas aujourd’hui, contrairement à d’autres communes voisines….

BBP est à votre écoute sur ce sujet   

Francine Poinseaux, Conseillère municipale, membre du CCAS

4 avril 2011

Les logements sociaux en construction à Brindas (enfin !)

La Semcoda est en train de réaliser 62 logements sociaux à Brindas (d’autres sont en cours de construction par des opérateurs privés dont 6 route neuve).

Ces logements vont renforcer le parc existant (105 logements sociaux). Mais cela sera encore insuffisant pour faire face à demande, notamment celles des jeunes et des plus âgés qui souhaitent rester habiter à Brindas, mais qui ne peuvent pas le faire compte tenu du prix du foncier.

Avec ces cinq opérations en cours, le taux de logements sociaux à Brindas pourrait dépasser les 8% (5% actuellement)... encore très loin de l’objectif de 20% demandé par l’Etat, il manque en effet plus de 300 logements sociaux à Brindas selon l’Etat.

En outre, le développement du logement locatif (social ou non) est une nécessité pour assurer un renouvellement suffisant de la population. A défaut notre commune verrait sa population viellir, son dynamisme s’essoufler, ses écoles et commerces fermés, … comme cela se passe dans d’autres communes voisines (Chaponost par exemple).


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3 avril 2011

Les résultats électoraux par bureau de vote

Le découpage des bureaux de vote brindasiens est désormais réalisé sur une base géographique et non plus alphabétique.

L'observation des résultats du second tour des cantonales, bureau par bureau montre des différences significatives.

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9 mars 2011

Le point sur : les écoles publiques et privées de la CCVL

Près de 2 900 enfants sont scolarisés dans les écoles de la Communauté de Communes des Vallons du Lyonnais. Pour 80% d’entre eux, ils le sont dans des écoles publiques.

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A Vaugneray et Yzeron, les établissements privés accueillent presque autant d’enfants que le public. A Messimy et Thurins, où les deux secteurs coexistent également, les enfants sont très largement scolarisés dans le domaine public. Les effectifs par classe sont aussi élevés dans le privé que dans le public.

traffic_sign_7j3Brindas détient le triste record du plus grand nombre d’élèves par classe avec en moyenne un effectif de 26, conséquence de la fermeture de deux classes lors de la dernière rentrée 2010. Rappelons que ces fermetures ont donné lieu à de nombreuses protestations des parents, des enseignants et des élus BPP ensemble à gauche, alors que la majorité municipale, n’avait rien trouvé de mieux à faire que des les anticiper en fermant les bâtiments de l’ancienne école Rue du Vieux Bourg (cf les articles déjà publiés sur ce blog à cette occasion)

Pour finir, rappelons qu’après plusieurs années d’interventions de notre part, les élus BPP ensemble à gauche ont enfin obtenu en 2009 que la Municipalité de Brindas arrête de subventionner la scolarisation des Brindasiens dans les écoles  privées voisines (soit une économie pour la commune d’une dizaine de milliers d’euros par an)


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